@ Gollum
Comme je l’ai déjà dit
plus haut à Robert Gil :
Il
y a actuellement selon moi deux
obstacles majeurs à la justice et à la paix du monde : l’économisme (moins bien
nommé capitalisme ou libéralisme économique) ET L’ISLAM.
L’aveuglement de la
« Gauche » française toutes tendances confondues, et des autres « Gauches » partout dans le
monde est sur ce point absolument confondant.
Ce n’est pas
contradictoire avec ce que vous dites vous-même : "c’est
la propension des différentes confessions à s’affirmer comme la seule et unique
vérité qui est la VRAIE source de violence".
Ce que je
dis avec insistance, quand je m’adresse aux catholiques et aux croyants juifs,
c’est justement que la condamnation de l’islam à partir du raisonnement selon
lequel « il ne serait pas LA VÉRITÉ contrairement au judéo-christianisme »
n’est nullement convaincante et suffisante. Elle peut même, tout simplement, relancer
de bien réelles guerres de religion.
Ce qui doit être selon
moi fermement détruit dans toutes les
religions c’est la croyance en une violence divine qui serait « bonne »
quand « le Dieu est le bon » et quand "la religion est celle qui
détient la vérité". Dans tous les cas, comme 3000 ans d’histoire religieuse le prouvent, cette croyance est
criminogène.
Pour le présent et le futur
elle est nettement pire dans l’islam puisque, dès l’origine, le prophète
Mohamed et les rédacteurs du Coran ont affirmé que leur Dieu appellait et
appellerait à tuer jusqu’à totale soumission du
monde à ce Dieu.
Mais tant que le judaïsme
et le christianisme continueront d’affirmer la même « valeur » de la
criminalité divine, même limitée dans le lointain passé de l’Ancien Testament, ces deux autres religions resteront elles aussi responsables de la violence religieuse effective, même si c’est
dans leur cas moins directement que dans l’islam.
Ce dont les croyants
des trois monothéismes doivent convaincre leurs institutions respectives c’est
que leur prétendue « bonne interprétation » de la criminalité, ancienne
ou « toujours valable », « de Dieu » est une fuite, une
tricherie, une lâcheté, et qu’elles doivent rejeter fermement, une fois pour
toutes, l’idée même de "violence voulue par Dieu pour de bonnes
raisons" telle que leurs textes,
par elles sacralisés, l’ont promue depuis 3000 ans.