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Eric F

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L'"agora" est l'espace public de dialogue et de communication. Certains s'y proclament expert ou maître à penser, tel n'est pas mon propos, étant un citoyen concerné par l'intérêt général.
J'ai toujours été et je demeure gaulliste, en adaptant aux situations et circonstances de l'époque. Notamment en évitant les ornières du catastrophisme aussi bien que du déni concernant la crise sanitaire, ou encore en rejetant les antagonismes entre blocs géopolitiques, et en préconisant la diplomatie et la négociation plutôt que les conflits.

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  • Premier article le 03/10/2017
  • Modérateur depuis le 19/10/2017
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Derniers commentaires



  • Eric F Eric F 12 juin 15:30

    @Krokodilo
    le barnum macroniste était une tentative de reprendre la main par l’« effet drapeau » et un amalgame grossier entre le débarquement et envoi de troupes en Ukraine, mais son drapeau personnel est en berne.
    Les anglo-saxons était là pour la figuration, Biden a failli en rester le cul par terre smiley



  • Eric F Eric F 12 juin 15:27

    @Aristide
    L’Afghanistan n’était pas pour l’URSS une guerre dans son coeur historique ni identitaire, c’était une guerre idéologique.
    Il est vrai qu’il y a une forme impériale dans la périphérie pan-russe, et ça fait partie des réalités historiques, culturelles et géopolitiques, tout comme les Yankees dans leur périphérie, mais depuis une époque où l’Amérique n’avait seulement pas été découverte.

    La Tchétchénie est incluse dans la fédération de Russie, c’était un conflit interne, menée on le sait sans fioriture.
    Les pays baltes ont été des greffes d’autre culture, ce qui posera problème est la minorité russe d’implantation récente, mais c’est gérable.
    MAIS Georgie et Ukraine orientale, comme la Biélorussie sont dans le monde péri-russe, qu’avons nous à gagner à y impulser ou soutenir une déstabilisation ?

    Vous parlez, pour l’Ukraine, de 10 ans encore de conflit, mais ça ferait des millions de morts dans un pays qui n’en comporte guère plus que trente cinq millions et n’arrive déjà plus à mobiliser sa jeunesse, contre un pays qui en comporte plus de 4 fois plus et qui n’a cure des pertes pourvu que ce soit pour l’honneur national.

    Notre économie est-elle si florissante qu’elle serait plus solide que celle de la Russie ? Depuis 2014 qu’il y a des sanctions, les inconvénients sont pour nous plus que pour elle.

    Regardez l’Europe dans son périmètre des 12 voire des 15, serions-nous en risque dans un tel conflit ? On s’est fourvoyé à notre détriment.



  • Eric F Eric F 12 juin 14:22

    @Fergus (message 09:24)
    Il est évident que tous les Ukrainiens de l’Ouest ne sont pas nazis, et Zélensky non plus à titre personnel, le problème est que les dirigeants nationalistes ukrainiens ont réhabilité des organisations et leaders ayant collaboré.

    Il est vrai par ailleurs qu’il y a des milices néonazies en Russie, mais ce n’est absolument pas la doctrine du régime que de réhabiliter la collaboration, mais au contraire la guerre de libération.

    J’ai regardé hier une émission sur Arte concernant l’industrie de guerre en Union Soviétique après le début de l’invasion allemande, et comment ils ont pris peu à peu la suprématie en armement alors qu’ils crevaient de faim, sur un élan populaire avant même la reprise en main stalinienne, c’est juste époustouflant.
    Parmi les héros méconnus, les travailleurs du rail qui, talonnés par le rush des troupes nazies, ont mis les usines dans des wagons pour les réimplanter à l’Est du pays.
    Je ne suis pas poutinolâtre, mais un tel pays ne sera pas vaincu dans sa périphérie. Alors il faut devancer le risque d’effondrement ukrainien en convenant d’une suspension d’armes sur la ligne de front ...avant qu’elle ne se décale encore vers l’Ouest.
    Et il n’y a rien à voir avec l’Hitlerisme qui voulait conquérir entre l’Atlantique et l’Oural (enfin, sa carte n’allait pas aussi loin, il pensait, comme Napoléon, qu’il n’y avait qu’un désert à l’Est de Moscou).



  • Eric F Eric F 12 juin 13:57

    @Krokodilo

    ’’in 2013, Ekaterina Zgouladze et Raphaël Glucksmann s’impliquent dans le mouvement Euromaïdan en Ukraine, qui aboutit au renversement du pouvoir en place l’année suivant’’

    Ça explique la place disproportionnée qu’a pris le thème du soutien à l’Ukraine dans sa campagne.
    Entre l’’Ukraine d’abord’’, ’’Gaza d’abord’’, et ’’la grande-Europe d’abord’’, que de listes ont mis la France en arrière plan !
    Pas étonnant d’avoir eu le résultat qu’on a eu !

    Il y a donc désormais sur l’échiquier électoral un bloc national, un bloc atlantiste, et un bloc tiers mondiste.



  • Eric F Eric F 12 juin 13:46

    C’est l’échec assuré pour Macron, car dans sa conférence de presse, il a montré qu’il est resté dans l’illusion qu’il y aura ce qu’il considère comme un ’’retour à la raison’’ pour lui donner une majorité.

    La gauche s’est unie et LR a éclaté, il n’aura qu’une poignée de dissidents qui le rallieront.

    Alors quel scénario après l’élection ? Le RN n’aura pas la majorité absolue mais sera nettement le premier groupe, la gauche et le centre seront dans des ordres de grandeurs équivalents l’un à l’autre.

    La ’’botte secrète’’ sera peut-être la proposition par la gauche d’un candidat acceptable par une grande partie de la macronie, l’idée de Laurent Berger fait son chemin...Autre possibilité, un jocker de droite acceptable par une partie de la macronie et acceptable par le RN.

    Qui a une idée pour le politikspiel ?

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