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Commentaire de SPQR audacieux complotiste chasseur de complot

sur 12 degrés Celsius au pied du téléphérique du glacier de la Grande Motte : où va le monde ?


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Voiture électrique jetable ; Tambouille nucléaire ; GPA (ce que l’on ne vous dit pas) ; Paie ton schlass ; L’épargne selon Macron

Non seulement les voitures électriques sont difficiles et chères à réparer, mais elles ne sont (pour l’instant en tout cas) pas faites pour. Comme pour les smartphone, les constructeurs se sont manifestement engagés sur la voie de l’obsolescence programmée. Dans un rapport, l’association Hop (Halte à l’obsolescence programmée) s’alarme de cette mise à la casse accélérée, qui ne concerne du reste pas que les moteurs électriques. Mais à l’heure où, malgré les mises en garde, l’UE continue de pousser à la roue, créant très artificiellement une demande si ce n’est une obligation à coups de normes et de subventions, le rapport vient mettre un clou de plus sur le cercueil...

Pour réduire les coûts de production pointe le rapport, certains constructeurs, comme Tesla ou le chinois BYD, conçoivent des équipements qui rendent la réparation économiquement comme techniquement impossible. A l’image du giga-casting, cette pratique industrielle qui consiste à mouler d’un seul bloc de nombreuses pièces de la voiture, obligeant à jeter et remplacer une grande partie du véhicule après un choc. 

Quasi-impossibles à désassembler, sans parler de l’obsolescence programmée des logiciels embarqués (autre juteux marché), les voitures électriques ne sont plus que bonnes à jeter. D’autant plus que la durée moyenne d’une batterie est de 8 à 10 ans, que rien n’encadre aujourd’hui leur durabilité, que la batterie représente la moitié du prix de la voiture, que personne ne veut en acheter d’occasion au delà de cinq ans, sans parler de leur propension à s’enflammer. Bref, qu’il y a encore des progrès à faire, avant de foncer tête baissée...

https://eclaireur.substack.com/p/voiture-electrique-jetable-nucleaire

Nucléaire : deux nuances de vert

En Allemagne, les révélations quant à la falsification de documents ayant conduit le gouvernement à sortir du nucléaire tombent à point nommé.

On savait la décision prise par l’Allemagne de sortir du nucléaire en 2023 toute politique et pas pragmatique, fruit d’un accord électoral scellé entre les verts et les chrétiens-démocrates. On apprend incidemment là maintenant que les chrétiens démocrates se seraient faits manipulés sans mot dire...

C’est ce que révèle le journal allemand Cicero. D’après les journalistes qui ont mené l’enquête et obtenu de la justice d’avoir accès aux dossiers classifiés, la décision de faire la peau à l’atome aurait été prise sur la base de documents falsifiés par les verts proches du ministre de l’économie allemand – et leader écologiste – Robert Habeck. Documents qui auraient ignoré les avis des experts consultés sur le sujet, lesquels avaient à plusieurs reprises tiré la sonnette d’alarme quant à la sécurité de l’approvisionnement énergétique.

« Robert Habeck a induit le pays en erreur pour fermer des centrales nucléaires. Soit il a menti, soit il ne contrôlait pas les idéologues de son ministère", s’est fendu le secrétaire général de la CSU, Martin Huber.

La nouvelle tombe en tout cas à point nommé pour la CDU. Le principal parti d’opposition se sent pousser des ailes entre les élections européennes de juin prochain et des échéances nationales, les élections fédérales qu’il est persuadé de remporter en 2025. Moins pour Robert Habeck, le potentiel candidat des verts aux prochaines élections législatives, sans compter l’ineffable Annalena Baerbock, l’actuelle ministre des affaires étrangères ayant déclaré seule au nom de l’Europe la guerre à la Russie. 

Les verts éclaboussés ? Ou les chrétiens-démocrates blanchis ?

La GPA est une forme de traite d’êtres humains

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