Mais les fromenteurs de la misère ce sont les politiques sociales et socialistes ou le socialisme de favoritisme de Macron.

Prendre de l’argent aux gens sans qu’ils le sachent pour leur redonner une petite part leur argent en leur disant « regardez comme nous sommes bons et généreux » avec une toute petite part de leur argent.

Le socilaisme et ses politiques généreuxes pour ses abonnés, comme les fonctionnaires et leurs régimes spéciaux, les associations qui font du social mais plus militantes que sociales.

Et puis il y a l’armée des gens du bien, les ecolos-marxistes et leur mlinistère de l’appauvrissement qui détruit un a un ce que possèfe le pauvre.

La premier capital du pauvre ? Une voiture d’occasion, généralement diesel.

Mais qui détruit la valeur de ce capital si ce n’est les polotiques ecolos ?

Le pauvre a une maison en ruine peu chère a retapper. Mais qui rend invendable sa maison en lui créant des diagnostics payants qui le classe comme maison dévalorisée a ne pas acheter ?

Qui a trandformé une energéie peu chère en une energie hors de prix ou les pauvres ne peuvent pas se chauffer ? Les ecolos

Qui a créé l’inflation ? Mais ce sont les politiques de déficit public qui ont rendu la monnaie moins forte ? Ou l’achat de vote par le social ?

Qui promet une retraite de misère aux pauvres si ce n’est la répartion, un système de ponsi qui s’écroulera en un coup dans les prochaines 30 annnées ?

Le logement social, qui sous prétexte de loger les pauvres, en réalité ne loge que des classes moyennes.

Les pauvres sont dans le réel logés dans le secteur privé.

Les assossiations gauchistes qui promeusent la haine des riches, et les font fuir et de l’autre acceptent des gens incompatibles avec l’esprit de liberté occidental.

La misère, c’est aussi les lois soviétiques qui interdisent au nom du bien aux commerces de faire des remises suppérieures à 34%. 

Les pauvres sont la conséquence de la perte du capitalisme dans le pays, et des 4 secteur inféodés aux gaichistes. L’édication, la justice, les journalistes, et la culture.

Ici le "pauvre ne s’exprime pas, ce sont toujors les intellos-marxistes qui s’expriment.

Le pauvvre ne vote pas socialiste, ni communiste, ces idéologies de fonctionnaires pour fonctionnaires.